mardi 8 août 2006, par
Tout commence par une pochette hideuse. Est-il vraiment utile de faire aussi moche pour être crédible ?
On n’a que le bien qu’on se fait et l’été qui arrive autorisent l’écoute d’albums de ce genre. Il faut bien matière à se remuer de façon plus ou moins convaincante. Plus pour des morceaux comme Good luck ou l’incroyable Plug it in. Moins pour le reste, qui est très en deçà. Bon, ce n’est pas cérébral et de toute façon ce sont vos jambes qui donneront le verdict, quand votre tête aura perdu le contrôle, que ce soit à cause des adjuvants à la fête absorbée ou du DJ qui vous échauffe. Pas vraiment mon disque de chevet qui passe en boucle donc. De la dance de facture plus qu’honnête et suffisamment crédible. Mais que demande le peuple en slash ? (M.)
Peu d’artistes se sont révélés aussi vite omniprésents que l’impeccable Fabrizio Modonese Palumbo. On a plongé dans sa collaboration avec Enrico Degani, découvert qu’on l’avait croisé chez Almagest ! puis réécoutés avec Larsen, en [collaboration avec Xiu Xiu, en tant que ( r ) ou maintenant sous son nom propre. Le tout en moins de deux ans.
L’album dont il est question aujourd’hui est une collection de (...)
On avait déjà confessé un goût prononcé pour ceux qui abordent la chanson française avec des envies résolument indé. Dans ce contingent, Volin nous avait beaucoup plu et on retrouve son leader Colin Vincent avec plaisir sur ce nouveau projet. Si on retrouve la même propension à garder des textes en français sur des musiques plus aventureuses, le style a un peu changé.
Accompagné de Maxime Rouayroux, (...)
Si on ne reçoit qu’avec parcimonie des nouvelles musicales de Pologne, force est de constater que celles qui nous parviennent sont toujours au minimum dignes d’intérêt (The Bullseyes, Izzy and the Black Trees) et on ajoute You.Guru a la liste.
Ce que propose le trio n’est vraiment du post-rock, mais un rock instrumental enlevé, pulsé. Un genre de math-rock qui serait allé se promener ou du Holy Fuck (...)
Il y a belle lurette qu’on célèbre des artistes provenant de la confédération helvétique. De Bitter Moon à Ventura en passant par Gina Eté, Odd Beholder ou Fai Baba, il y a clairement de quoi faire. La liste est longue et compte maintenant un nouveau non à retenir.
Quand on pratique un style électronique, il faut soit être fort subtil ou s’arranger pour que ça claque. C’est clairement la seconde option (...)