Merci dites. Je sais qu’il a clamé ne plus avoir l’intention d’achever son chantier étasunien, mais d’ici 2061, tous les fantasmes sont permis et seuls les imbéciles auront changé d’avis. Je comprends sa "coquetterie", vu qu’il n’y a que sept titres et demi sur le disque et qu’on est loin de sa moyenne par album mais évidemment, ça ressemble à un EP pour rire. Avec, pour ce qui me concerne, au moins trois chefs-d’oeuvre (et demi), qui occupent les 3/4 de l’espace et m’ont fait oublier toutes le faiblesses.
Pour moi, Sufjan Stevens c’est un peu comme Arcade Fire : on est tellement blasé (…)