Pour moi le gros ratage c’était "Life Pursuit", le premier vrai signe d’essoufflement "Dear Catastrophe Waitress". Alors qu’ici je pensais d’abord qu’on restait dans la continuité du premier, j’ai retrouvé avec ce disque les plaisirs modérés mais toujours prenants du second. La note tient probablament plus de l’affection éprouvée pour le groupe que pour cet album en particulier (comme pour Glasser et quelques autres, c’est une de ces quatrièmes étoiles obtenues à l’arrache et sans réelle affirmation), mais je trouve qu’il est loin d’entacher une disco encore formidable à ce jour, si l’on (…)