Le cœur et la chair
À force de prospecter de l’or à travers le tamis de ses chansons lumineuses pour les dispenser en pépites dans les recoins interlopes de son presque anonymat, normal que Kenny Anderson ait replongé sous terre pour y quérir de plus précieux minerais. Qu’il ait croisé sur son chemin ce puisatier d’air pur qu’est Jon Hopkins tenait a priori de l’heureuse rencontre, mais se révèle en réalité bien davantage. Au fin fond de la mine, quelque chose d’autre s’est produit ; et (…)