Imprégnation
Il est rare qu’il passe aussi peu de temps entre la publication d’une critique et le compte-rendu du concert associé. C’est une vraie chance parfois comme on va le voir.
Quand on a pour batteur un talent du calibre de Martin Dosh, il est logique d’y penser pour assurer la première partie. J’avais déjà vu ce bidouilleur (avant Andrew Bird d’ailleurs) et le souvenir était plutôt bon. Las, dans un Cirque Royal en configuration assise, les rythmes ne servent que de musique de (…)