Encore une fois ce blog m’aura fait faire une belle découverte.
Albin possède un talent d’écriture incroyable et je suis bluffé par le pouvoir d’évocation que révèle chaque chanson, en quelques mots tout est dit "Sur la peau pâle d’une épaule, deux lettres de cyrillique / et la blessure d’une bretelle, rouge brique" on est pas loin du haiku...
Cependant là où l’épure des textes est admirable et touchante grâce à ce petit brin de voix, elle est moins grisante quand elle s’applique aux accompagnements. C’est fade, trop minimaliste ! Il faudrait repasser ce disque à la moulinette Sufjan (…)