J’avais décroché d’une chanson d’Eté ‘67 en entendant dans le Quartier de la Gare “Des hommes dorment sous des cartons\Pendant que d’autres pensent à leur pognon”. Cette phrase est juste, pertinente et d’une manière inattaquable, mais elle n’a pas la charge qu’on attend d’une oeuvre artistique. Plusieurs années plus tard, on m’envoie le clip de Parrot de Nicolas Michaux (issu de la formation liégeoise) pour me donner envie d’en savoir plus. Et là, la conjonction d’une musique sautillante et (…)