Tu parles d’une discographie d’EP’s qui permet de constater l’évolution, et je trouve que c’est particulièrement prégnant pour Eosine, dont la deuxième livraison m’a bien plus convaincu que la précédente. Ça s’affine, cette affaire, et je suis tout de même curieux d’entendre ce que ça donnera sur la longueur.
Je ne connaissais pas Louis Arlette mais décidément Musset a le vent en poupe, et cette nouvelle mise en musique est prenante.
Quant à June Road, je suis toujours partagé sur ce genre musical (c’était déjà le cas du précédent EP que tu avais chroniqué), mais quelques chansons (…)