En cette période peu chargée en sorties musicales, l’album de Lauren Auder arrive à se hisser sans peine parmi les toutes bonnes surprises du mois. Il y a effectivement une flamboyance indéniable dans bon nombre de ces titres énigmatiques qui évoluent quelque part entre l’éther et la géhenne.
Sinon, j’ai encore utilisé le mot "queer" dans l’article du jour. J’imagine qu’il a donc de beaux restes. :-)