Allez, il fait beau, je ne vais pas vous parler d’un album tristouille. Oh que non. La pochette est à elle seule une source de poilade. La musique aussi. Non qu’on soit dans le gras du bide ou le graveleux. On est plutôt dans le sourire narquois, dans l’allusion (quelques titres : When I see you I hear Charlie Parker playing ou encore Frankly Scarlet, I don’t give a damn...). Et la musique alors ? Si les frères Mael avaient dans les années septante exploré un genre hard-pop d’un goût parfois (…)