Tout se paye, tout s’achète. Y compris une crédibilité. C’est sur ce postulat cynique qu’on dû se baser les producteurs de Justin Timberlake. Car, avouons-le, sortir d’un boys band (les inénarrables N’sync en l’occurrence) n’est jamais un gage de réussite. Mais réussir en un seul album à capter l’attention des médias plus pointus que les magasines d’adolescentes (voir tous les classements et référendums qui fleurissent en cette saison) est plus difficile. Le secret ? Un groupe de producteurs (…)