Oui, j’avais déjà lu ta critique et tu n’y allais pas de main morte ! La longueur excessive, notamment, est évidemment un argument recevable. Cela dit, comme tu l’auras compris, j’ai plutôt (bien) aimé ce troisième Gorillaz, que je trouve supérieur aux précédents : plus riche, plus dense, et valant plus que la somme de ses invités. Peut-être Albarn a-t-il visé trop haut en invitant certains grosses pointures, mais je crois que c’est fait sans calcul. Et les compos, même si l’effet de surprise a généralement disparu, sont à mon avis solides (un peu moins sur certains morceaux où Damon est (…)