Evidemment, le vrai texte est bien mieux. Pour moi aussi, L’immortalité est celui que je préfère chez Kundera. Et puis ton commentaire implique une question : c’est quoi ton numéro un ? Ca sent le hors-sujet tout ça...
Et sans doute la façon la plus étrange de faire écouter un album. Prochain challenge : citer Borgès dans une critique.