En réponse à :
15 juillet 2010, par Marc
Comme les petites boulettes
Pour les albums qu’on découvre aussi il y a des limbes, une zone mal définie qui dure quelques écoutes, où on décide si l’album qu’on a dans les oreilles fera l’objet d’une critique. Parce qu’on ne parle pas de tout ce qu’on entend. Pour cet album par exemple, découvert au détour d’un article de Pitchfork (cette référence est loin de l’obsolescence), ce furent les secondes finales de la plage titulaire qui m’ont donné envie d’y revenir, de m’en imprégner et de vous relater mes (...)