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29 octobre 2010, par Laurent
Ode
Ô belle Agnes, vos philharmonies sont si douces qu’elles me font souffrir. Et sous l’échancrure pudique de votre polo rayé, je devine un cœur qui s’ébat en pépiements farouches.
Ô belle Agnes, lorsque vos doigts de fée gambadent sur ce piano mutin, je vous sens prête à entonner quelque hymne à la joie, mais toujours la marée voit-elle refluer votre vague à l’âme.
Ô belle Agnes, si c’est une harpe qui berce vos émois, pourquoi me semble-t-il tant qu’elle s’égaye sous l’océan et que (…)