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21 janvier 2011, par Laurent
Escarpements
De Calvi, je me remémore la citadelle, flanquée comme à jamais sur les rivages contondants de l’île de beauté, la torpeur paisible que génèrent ces cieux cléments favorisés par un soleil de plomb qu’épouse le souffle du littoral, l’étape salutaire d’un mare e monti fait de sueur et de soif. D’Anna Calvi, je ne sais rien ou presque, mais je m’apprête à découvrir une autre forteresse cernée d’escarpements, une œuvre brûlante qu’adoucit la brise d’une voix peu avare de caresses, un moment d’arrêt et (...)