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18 juin 2006, par marc
Une des grandes joies de la musique, qui paradoxalement confirme la vacuité d’une critique, est le caractère non déterministe de ce qui peut plaire. En effet, tout pourrait énerver ici, le maniérisme, la voix haut perchée... Et pourtant ça marche. On détecte une sincérité, et le mielleux est évité (de justesse, c’est encore mieux), encore que je conçoive que cet avis ne fera pas l’unanimité.
Les préoccupations d’Antony ont beau ne pas être les miennes (au vu du thème des chansons et selon le titre de (...)