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14 avril 2011, par Laurent
Aveu de mortalité
Ah lala, Alela, qu’est-ce qui t’a pris de vouloir habiller tes chansons de velours et de satin, quand la nudité seyait si bien à leur galbe fauve ? Telle une sauvageonne fascinée par les manières de la ville, tu as civilisé ton art pour gagner ta place dans le grand monde. Mais de la haute, tu l’étais bien davantage quand tu laissais ton chant s’ébattre au gré des cascades ensoleillées de Nevada City. Aujourd’hui, entre les ombres de Portland, tu t’oublies pour de rire (…)