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27 juin 2011, par marc
Avec son talent de violoniste, et celui d’auteur-interprète, il semblait tentant de placer Patrick Wolf bien haut, ce qui dans le genre s’associe à des pointures comme Andrew Bird ou Owen Pallett. Mais on sait depuis l’album précédent (celui-ci en est la suite et devait s’appeler The Conqueror) qu’il convient de le rayer de cette liste. Parce que l’artisanat intemporel, très peu pour lui. Patrick est flamboyant, Patrick est ample, Patrick n’est pas modeste. Il est comme ça, c’est à prendre (…)