Au plus que, au mieux que
« Here we are now at the middle. More and more, I have the feeling that we are getting nowhere. Slowly, we are getting nowhere... and that is a pleasure. » Voilà par quel soliloque DJ Shadow scinde les deux faces de son nouvel album, entre une première moitié relativement déroutante et une seconde nettement plus familière. Décidément insaisissable, Josh Davis n’a jamais commis qu’une véritable faute : celle d’avoir commencé par la fin. “Endtroducing”, ou comment (…)