En réponse à :
14 octobre 2011, par Laurent
One-man-man
On pourrait, à la limite, débattre un peu vainement de cet appétit artistique qui pousse certains frontmen à se lancer dans un projet solo, dès lors qu’ils incarnent à eux seuls l’identité, l’âme même parfois, de leurs groupes respectifs. Cela reste, bien sûr, un moyen privilégié d’exprimer certaines choses étouffées lorsque le groupe en question s’envisage comme une relative démocratie (on renverra ici au cas Thom Yorke), tout comme l’émancipation peut n’être que l’étape logique d’une évolution (...)