Parfois je me demande... Est-ce moi qui ne suis plus dans les mêmes dispositions ? En tout cas, autant j’ai trouvé que 2011 était un cru exceptionnel, autant ce presque demi-2012 ne m’a guère transporté. Les bonnes choses ressemblent à des bonnes choses déjà faites avant. Le Dominique A est bon, oui, mais le son live du disque m’empêche de le porter aux mêmes nues que Marc ; sans ce défaut de production j’aurais peut-être partagé son enthousiasme. L’indie rock a de beaux restes (Shearwater, Bowerbirds, Gravenhurst,...) mais beaucoup de chouettes disques ne m’ont emballé qu’à moitié, ou pour un temps fort (...)