Quand ça commence par du piano aussi nettement sous mixé et intimiste, on craint le mauvais délire neurasthénique. Mais quand le riff de At least that’s what you said déboule et dégénère en pièce saturée digne des meilleurs moments électriques de Neil young et son Crazy Horse, on garde l’oreille attentive.
Et on a bien raison car cet album mature et plein mérite le détour. Laissez-lui quand même plusieurs écoutes pour qu’il livre tous ses secrets. En effet, les montées d’un morceau comme (…)