Il y a des groupes comme ça, qui vous ont marqué plus qu’on ne le pense ou n’ose se l’avouer. Souvent écoutés à un âge de découverte où on est plus sensibles, ils restent quelque part dans le fond de la mémoire, et ne reviennent que le jour où on retrouve une vieille tablature ou un vieux cd. Ou alors, comme dans le cas qui nous occupe, un album qui sort pour nous rappeler à notre bon souvenir. Peut-être que je dois aux Levellers quelques-unes de mes inclinations. En tous cas, ils avaient ouvert une (...)