Hé mais c’est Laurent, content de te revoir dans les parages.
Je n’avais vraiment pas approfondi le premier album, mais je me suis senti tout de suite à l’aise ici (plus que dans le dernier Xiu Xiu que je ne comparais que parce que j’appréhendais la rudesse de Carl). Mais c’est clair, on n’est pas vraiment dans de la variété. Ce n’est sans doute pas aussi facile d’accès que, disons, du Houellebecq...