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27 août 2013, par Marc
Plaisante habitude
Loin de moi l’idée d’éluder cette critique, mais je sens que je pourrais sans trop de problèmes recycler ce qui avait été dit à l’époque de l’album précédent No Color. Après quatre albums la surprise est éventée, de même que toute notion de déception. On a compris ce qui nous plaisait chez The Dodos, ce qui les rends attachants et reconnaissables.
Sans les artifices et les marqueurs du début, les morceaux doivent se débrouiller tous seuls, et ils le font bien, parce que même ralentir le (...)