Aborder Benjamin Biolay sans préjugés est très dificile au vu des réactions épidermiques suscitées par le personnage. Il n’y a quoi voir le dégoût affiché par un Rudy Leonet par exemple (qui apprécie Indochine, allez comprendre...). Mais n’ayant jamais entendu rien de lui, ni vu de concert, je me sens d’attaque. Avec un peu d’appréhension, celle d’aborder un Saez pour trentenaires (ce qui semble assez inconcevable je l’accorde) par exemple.
La première impression est d’écouter du Miossec sans le côté (...)