D’accord sur toute la ligne, mon cher Marc...
Oh oui, le disque est bien meilleur que son prédécesseur. Oh oui, le côté répétitif de l’ensemble en est le dommage collatéral. Cette fois, foin de scories r’n’b et d’artifices de production pour faire dans l’air du temps : sans doute aussi parce que les artifices vintage de Dan Auerbach sont un peu devenus comme une deuxième langue pour les fans d’indie-rock lambda. Oh oui, Lana Del Rey est une artiste dont on a sans doute vanté trop tôt et trop haut les mérites, ce qui ne leur enlèvera pas forcément grand-chose sur la longueur, si elle tient la longueur : (...)