Dans la presqu’inépuisable longue liste des fausses bonnes idées figure en bonne place l’album symphonique. Il suffit que le répertoire ne s’y prête pas ou que l’adaptation se révèle ampoulée (voire les deux pour le risible exercice de Metallica) et hop, on a un album hyper glycémique. Fort heureusement, les albums de John Grant ont déjà une grandiloquence qui n’ont pas dû lui faire hésiter longtemps à l’invitation de BBC6.
Son album précédent comportant plusieurs titres à couleur (…)