Tous les ans The Wooden Wolf sort un album dans les derniers mois et il se retrouve critiqué au début de l’année suivante. On ne veut en effet pas les gaspiller, en profiter un peu avant d’en livrer un avis. Même si on sait maintenant qu’il sera à la hauteur.
Le premier morceau avec sa voix parfaitement éraillée, ni trop ni trop peu, assez pour que l’humanité puisse sourdre, pas trop pour ne pas que ça soit une maladie du nez (ou Barzotti). Fan de Bonnie Prince Billy et de Jason Molina, il (…)