Quitte à paraitre un peu décalé, je n’attendais pas grand’chose de cet album de Sufjan Stevens. Non qu’on puisse le moins du monde remettre en question son talent. Mais depuis qu’on s’est rendu compte que son tour des états des USA allait tourner court, il s’est entiché d’une bretelle d’autoroute, a sorti plein d’albums de Noël et laissé libre cours à ses penchants électro-acoustiques pompiers. Je dois avouer qu’un insondable découragement m’avait poussé à passer mon tour sur The Age of ADZ.
Pourtant cette (...)