On a souvent eu à déplorer que des groupes devenaient moins intéressants quand ils voulaient toucher un public plus large. Cela n’a jamais été le cas de Beirut, donc l’inspiration et la direction n’a jamais l’air d’avoir été influencées par une popularité croissante. C’est le public qui est venu à eux, pas le contraire.
On peut comprendre aussi la volonté de ne pas se laisser réduire au gimmick du ‘groupe avec une fanfare balkanique’. Certes, c’est ce qu’on entendait le plus chez eux, mais (…)