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5 septembre 2016, par marc
Tout le monde change. Miossec change et nous aussi. On a depuis longtemps compris qu’il ne se complairait pas dans la pose du rebelle alcoolisé mais repentant. Ce n’est pas une trahison, jouer ce rôle serait pathétique, une sorte d’Indochine de la bibine. On nous l’a fait tellement souvent, le coup du Miossec apaisé, que c’est devenu une évidence, un fait avéré. Et puis petit à petit, album après album, c’est une sacrée discographie qu’il se constitue.
Son entrain est maintenant différent, a un autre (...)