La trajectoire d’un artiste va parfois vers la limpidité, vers l’épure et la simplicité de la forme. C’est le cas de Dominique A par exemple. A l’inverse, notre amie Leslie Feist semble aller vers plus de complexité au fur et à mesure des albums.
C’est avec son second album Let I Die qu’elle s’était signalé au public européen. C’était d’une délicatesse extrême, d’une subtilité qui tutoyait parfois l’évanescence. Elle a alors bien évolué, captant l’énergie et l’électricité sur l’épatant The (…)