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15 décembre 2017, par marc
On ne va pas se mentir, si l’univers de Destroyer intrigue tout de suite, il est tout-à-fait possible qu’une période d’acclimatation soit nécessaire pour en discerner tous les charmes. Et même une fois la porte passée, elle peut se refermer derrière vous. Ce n’est pas le moindre des charmes de l’artiste de Vancouver. Dans notre cas, ce fut le plus ‘rock classique’ Trouble In Dreams qui nous a rapprochés et convaincus. Et puis alors que Kaputt nous avait laissé plutôt froids, son successeur (…)