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18 mai 2018, par marc
Il est finalement rare qu’un nom d’album colle autant à ses intentions. Dans le cas du Français (de Nancy) Rougge, on n’est pas trompés sur la marchandise. Cordes en comporte en effet beaucoup. Denses, cinématiques, elles tiennent ces morceaux sensibles. Visiblement son camp de base comprend sa voix (mais pas de mots, on y reviendra) et un piano. C’est avec un quintette que ce troisième album parait et on peut dire qu’on est séduits par le résultat.
Après un morceau d’introduction, les violons donc (...)