25 ans. Ca fait un quart de siècle qu’on a découvert les Tindersticks, plongé sans remède dans ces deux premiers albums et jamais eu à renier cet attachement. Comme le confesse Stuart Staples, sa voix très particulière (un vibrato baryton du plus bel effet) laisse peu de latitude quant au style, et c’est un peu vrai. Mais pas complètement, on a connu des évolutions des cordes soyeuses à la soul blanche (Can We Start Again) au jazz plus minimal et arrêté qui déviaient de leur pop de chambre (…)