Quatrième album pour autant de critiques pour le projet de Ryan Karazija. On se rappelle rapidement pourquoi on s’est tellement entichés de lui. Pas en toute première écoute cependant, il faut laisser un peu de temps pour que les morceaux percent, ce qui est un effet secondaire connu de ce genre de musique.
On est habitués à prendre son temps pour découvrir un Patrick Watson ou un Bon Iver, les deux étant des points de référence en terme de style et de qualité. Il assume des racines plus folk que (...)