Il existe une jeune garde de musiciens allemands et autrichiens à suivre. On avait déjà rencontré P.A. Hülsenbeck sur un album solo aventureux et sur la merveille de Jungstötter et il confirme ici l’étendue de son talent. Il s’associe ici à Michaël Schönheid qui, s’il échappait à notre radar, est visiblement un organiste de renom, organisateur d’un festival dédié à ce si impressionnant instrument.
L’orgue est logiquement au centre des débats mais contrairement à ce qu’on entend en ce (…)