Si Arcade Fire a quelques suiveurs médiocres sur la conscience, on peut les créditer d’avoir réhabilité une certaine façon d’en faire trop. Et parmi ceux qui se sont engouffrés dans la faille beuglante, on a toujours eu un petit faible pour les Californiens de Bodies of Water. On discernaitune telle envie déroulée sur un sens mélodique qu’on n’a pu que céder. Comme chez Cloud Cult, il y a ce côté familial, cette impression de communauté seventies. Mais si on a dû attendre un peu pour avoir de nouveau un (...)