Une grosse patate et grosse disto, la recette est connue mais ne suffit pas à vous donner envie. On avait déjà évoqué la musique de vendredi après-midi (on ne pratique plus les samedi soirs depuis trop longtemps), celle dont on se sert pour passer de la torpeur à l’euphorie et le duo montois se place exactement dans cette lignée.
La voix sur l’escellent Jour Du Cobra pourrait faire penser à la transe qui nous avait saisis à l’écoute du fameux premier Foals mais avec une guitare (ou un succédané (...)