On ne se rend pas toujours compte à quel point une formation peu exposée médiatiquement a pu colorer le son d’une époque. Certes, sa sphère d’influence ne s’est jamais étendue jusqu’au mainstream mais pendant plusieurs années, il était difficile d’écrire une critique en faisant l’économie d’une référence à la formation de Baltimore. Que ce soit littéralement (Leaf House) ou de façon plus diffuse. Et avec le recul, c’est sans doute l’album d’un des membres d’Animal Collective qui a sorti la pierre de touche de (...)