On est d’accord : impressionnant est le mot. Peut-être parce que le précédent m’était déjà apparu comme un jalon et qu’il me semblait difficile pour Emily Jane de rivaliser avec sa propre excellence. I stand corrected comme on dit à Provo, Utah. "Alluvion", c’est du très très lourd dès les premières écoutes. Comme je manque pour ma part de recul, j’ai encore du mal à le situer de façon synchronique, mais il me semble en tout cas d’ores et déjà qu’Emily Jane White vient de publier son (...)