Mais oui, en effet... on est arrivés jusqu’ici, c’est pas pour craquer à deux mètres du bol de sangria (oui, je viens de citer Bigard). On aurait tort de ne pas explorer plus avant cette disco conceptuelle (comme sa vie donc) et toujours aussi truffée de bonnes surprises. Merci de nous le rappeler d’ailleurs, car le rythme de ses sorties est si frénétique qu’il ne se laisse jamais le temps de nous avoir manqué. Pour autant, je ne boude pas mon plaisir !