C’est pour ce genre d’albums qu’on écrit. Parce que ceux qui énervent ou qui ennuient sont vite critiqués et rangés, parce que ceux qui sont juste plaisants ne sont pas souvent écoutés, parce que ceux qui sont marquants nous accompagnent un bon bout de temps et font plaisir quel que soit le temps a coulé depuis la dernière écoute. C’est à cette dernière et délectable catégorie qu’appartiennent ces Mauvais exemples de la reine Mary
La premier morceau est d’une sècheresse qui ne déparerait pas sur le dernier (...)