Parfois un album nous enchante ou nous énerve et on écrit beaucoup. Parfois il nous laisse froid et particulièrement sans voix. Je l’ai écouté. En entier. Plusieurs fois. Donc j’en parle parce que c’est nouveau. Il ne faut pas toujours chercher des raisons philosophiques compliquées à la rédaction d’une critique.
Car tout ici peut m’énerver potentiellement, le down-tempo bloub-bloub années ’80, la voix fluette et lassée, le rythme qui ne bouge pas (vous allez éviter la critique track-by-track, tout se (...)