Retour en forme de notre désespéré favori
Il faut parfois savoir faire machine arrière. J’avais jugé le dernier album de Miossec médiocre à l’aune de ses trois premiers (j’avais eu des réactions plus contrastées pour Brûle) et c’était sans doute une erreur. 1964 était finalement un demi-album réussi plutôt qu’un album à moitié réussi. La nuance, c’est que sur cet opus se côtoyaient de vraies belles réussites et des morceaux plus faiblards tirant des ficelles des premiers.
C’est donc avec un état d’esprit plus (...)