S’il ne s’agit pas de l’idée la plus renversante de l’histoire de la musique enregistrée, l’idée d’albums d’hommage est souvent bonne. Pour deux raisons : la première est de rappeler à notre bon souvenir des titres souvent classiques ; la seconde de permettre à des groupes ou chanteurs moins connus de s’exprimer auprès de chevronnés. Donc ici, c’est dans l’immense répertoire de Léo Ferré qu’on plonge. D’abord, je dois avouer qu’à de rares exceptions près je le connais mal, sans doute parce (…)