Dans la grande famille des projets de qualité qui ont moins d’écho que des chouchous surévalués, il ne faudrait pas oublier Destroyer. Membre des New Pornographers, c’est cependant en tant que Destroyer que Dan Bejar donne la mesure de son talent. Après un Destroyer’s Rubies qui a eu un succès critique même dans nos contrées, voici ce qui pourrait signer la reconnaissance. Ou risque de confirmer la frilosité de nos contemporains.
Car si Destroyer est surprenant, il n’en est pas moins (…)