Encore un papy du rock qui ne vieillit pas. Un nouvel album de Neil Young en 2003, voilà ce qu’il nous fallait. On écoute une première fois l’album et on se dit qu’on a entendu maintes fois cette voix, ce mid-tempo et qu’on n’est pas en train d’écouter un de ses chefs-d’oeuvre récents (comme Sleeps with angels ou Mirrorball). Puis on le réécoute et on réalise qu’on l’a déjà dans l’oreille, dans les tripes, que les sons de guitare du Crazy horse sont plus justes que jamais. On est, encore une (…)